soleil66 a écrit:
Il y a tellement de paramètres qui peuvent influencer la tenue de route.
Je reste donc dans la sensation, le ressenti de comment se tient le véhicule en ligne droite sur route/ autoroute ( revêtement très bon et dégradé ).
Des personnes disent que le Duster 1 ne tient pas le cap. Perso, je n'ai jamais eu de pb avec mon Duster ( jusquà 170 ctr ).
Mais peut-être que pour certains, ils ressentent quelque-chose de désagréable lorsque le véhicule est sensible au bombé d'une route qui va avoir tendance à faire aller à droite ou à gauche le véhicule.
Idem sur mauvais revêtement qui va faire sautiller et donner des écarts, ou un vent de travers plus sensible pour telle ou telle voiture.
C'est plus le flou de la direction lorsque le véhicule roule en ligne droite, on a tendance à suréagir aux mouvements du véhicule (en fait de faire une correction à contre temps ce qui amplifie le louvoyage). Je pense que c'est surtout ça, après pour comparer la sensibilité du véhicule, je crois que tu nous surestimes, on est que des conducteurs de tondeuses à coté de ton expérience ! ;o)
soleil66 a écrit:
Ayant eu la chance de conduire à l'époque des non limitations de la vitesse, avec des voitures de sport, à cette époque, souvent, la largeur entière de la route était tout juste suffisante tellement ça naviguait.
Comparativement, mon Duster 1 n'est que du bonheur dans ce domaine ( mais bien sur rien à voir avec une Porsche GT3
).
C'est vrai que lorsqu'il m'arrivait de jouer le sac de sable sur le siège passager à bord des SM lorsque mon paternel faisait l'essais route avant de rendre le véhicule aux clients, fallait avoir le cœur bien accroché, ne serait-ce que relâcher l’accélérateur faisait se déporter le véhicule de plusieurs dizaines de centimètres, et comme ce machin montait au dessus de 200km/h, ça louvoyait sévère.
Je parle même pas de la Panhard à manivelle dans la descente du garage, c'était la fin des années 70, j'étais gamin et j'admirais mon père faire joujou avec des vrais voitures, les temps changent mais à l'époque il y avait 12000 morts par an sur les routes.